POÉTHIQUE URBAINE #1 – TOUR IBOX – Paris

Notre programme de POÉTHIQUE URBAINE commence par un lien à la ville. C’est sur ce registre qu’ensemble, elle et nous, échangeons nos idées, nos rêveries, nos utopies. C’est dans nos conversations que se dessine chacun de nos projets. Pour initier ce programme, nous avons choisi de partager avec vous la réalisation co-signée avec DATA de la Tour IBOX pour GECINA et de vous livrer ici notre vision sensible.

ne plus toucher terre

Venir d’en bas et d’en haut, s’approprier la rue et simultanément, s’acclimater aux sommets, lever le nez au ciel et avoir le vertige en baissant le regard vers le parvis de la gare de Lyon. Notre première approche de la tour porte un nom : sensation.

empreinte au sol et au ciel

Marquer le territoire, s’amuser des allées et venues du monde, des badauds, des voyageurs, changer d’air au milieu des autres tours, se faire sa place, laisser sa trace dans l’architecture des années 70, tailler sa signature sur la pierre, en réinventer le rythme, faire écho au beffroi de la gare de Lyon. Notre deuxième approche de la tour porte un nom : immersion.

debout sur la branche

Monter dans les tours sans gêner personne, déambuler dans les coursives, voir sans être vu, descendre, monter à nouveau et tenir en équilibre sur cette architecture transparente. Notre troisième approche de la tour porte un nom : lévitation.

à vol d’oiseau

Rien n’est vraiment loin à vol d’oiseau. Du rez-de-chaussée au rooftop, de la rue au vaste hall, tout est proche, lié, connecté, partagé. La tour vit de jour comme de nuit, abri pour bureaux, repère pour noctambules avec le restaurant sur la terrasse qui donne sur Tout Paris. Notre quatrième et dernière approche de la tour porte un nom : perception.