[ OPUS 4 ]

Pour connaître une ville, il faut la regarder vivre, pousser des portes, traverser des halls, pénétrer des cours, lever les yeux sur l’arrière des façades, comprendre la pierre qui tient l’immeuble debout et maintenir sa mémoire intacte et silencieuse au-dessus du brouhaha.

La vie d’un bâtiment est peut-être une jungle, un laboratoire ou un lieu de rencontres. Nous n’en savons rien. Lorsque nous travaillons la matière, remanions l’espace, ajoutons de la lumière, nous ignorons le destin de notre architecture mais nous espérons que ce soit le début d’une nouvelle histoire.

Et puisque résumer DTACC ne tiendrait pas sur quelques lignes, nous aimerions vous dire que nous sommes toujours aussi passionnés pour mettre notre engagement dans l’évolution de la ville. Notre architecture s’amuse. Elle crée parfois des vides qu’aucun corps ne saurait remplir et où seule la pensée y a sa place, des formes qui nous semblent idéales, qui remplissent les esprits et qui donnent un nouveau souffle urbain, une respiration.

Detoxyourcity2018